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Interne Keuken is onder de indruk van De kinderen van de kolonie, de vijfdelige serie waarin de geschiedenis van het koloniale Congo en de onafhankelijkheid wordt verteld door mensen die erbij waren. Confronterende televisie.De aflevering van vorige dinsdag ging over de onafhankelijkheid, en de rol die Patrice Lumumba daarin heeft gespeeld. Lumumba was de eerste premier van Congo. De blanke Belgische getuigen in De kinderen van de kolonie vertellen hoe schokkend ze toen de toespraak vonden die Lumumba ongevraagd hield op de dag van de onafhankelijkheid, voor de ogen van de verbouwereerde koning Boudewijn.Een half jaar later was Patrice Lumumba dood. Vermoord. In 2002 besloot een parlementaire onderzoekscommissie dat de Belgische overheid een "onmiskenbare verantwoordelijkheid heeft gehad in de gebeurtenissen die tot Lumumba's dood hebben geleid".De aflevering besluit met een statement van Juliana Lumumba, dochter van Patrice, vijf jaar oud toen haar vader stierf:U heeft niet alleen een vader vermoord. U heeft het ideaal van een land vermoord, de droom die de Congolezen hadden van een betere toekomst.We waren onder de indruk van Juliana Lumumba en van de kracht van haar woorden. Haar vader is uitgegroeid tot een symbool. Een held, niet alleen in Congo, maar in heel Afrika en ver daarbuiten.We deelden ons respect op twitter. Er kwam reactie van Peter Verlinden. Patrice Lumumba heeft inderdaad een heldenstatus bereikt, meldt Peter. Maar bij wie, vraagt hij zich af. "Het zou zinvol zijn om hierover ook eens het gedacht van de Congolezen in Congo te vragen. Dat klinkt naar mijn ervaring van bijna dertig jaar wel behoorlijk anders."Onze nieuwsgierigheid was geprikkeld. Zaterdag zit Peter Verlinden aan de keukentafel over status van Patrice Lumumba in Congo.
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Neen, de koloniale monumenten mogen niet verdwijnen uit het Belgische straatbeeld, wel integendeel. Neen, de Belgische politici moeten zich niét verontschuldigen voor het kolonialisme en de Belgische koning Filip evenmin voor de misdaden in Kongo-Vrijstaat van zijn voorvader Leopold II. Het zijn maar enkele van de glasheldere stellingnamen van Peter Verlinden in zijn jongste boek waarin hij de band onderzoekt tussen het koloniale verleden en de hedendaagse relatie met het vroegere ‘Belgisch-Afrika’ en het racisme in eigen land. De auteur stelt de zaken op scherp. Tegelijk zoekt hij een uitweg uit de gepolariseerde discussies over ‘verontschuldigingen’, ‘de standbeelden van Leopold II’, ‘Zwarte Piet’ en de hele polemiek over de koloniale en pre-koloniale erfenis, 60 jaar na de onafhankelijkheid van Congo. Hij stelt oplossingen voor die passen in de nieuwe veelkleurige wereld van de toekomst. Soortgelijke polemieken over de raciale verhoudingen en het koloniale verleden woeden ook in Nederland en elders in West-Europa, zelfs in de Verenigde Staten. De jonge Afrikaanse diaspora neemt daarbij het voortouw en voert een soms bitse strijd ‘tegen de witte man’. Witte man Peter VERLINDEN, auteur, docent en voormalig VRT-journalist volgt deze discussies al dertig jaar. In zijn eerdere boeken over de koloniale tijd in Congo liet hij vooral anderen aan het woord. In dit polemisch essay trekt hij nu zijn eigen conclusies over de koloniale erfenis en het samenleven vandaag, over de witte schaamte en de zwarte trots.
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Les Missionnaires d'Afrique forment une société de vie apostolique missionnaire de droit pontifical également connus sous le nom de Pères blancs. Ils ne doivent pas être confondus avec les missionnaires de la société des missions africaines.Suivre sur
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#Bizimana #RuandaUrundi #PèresBlancs


Katanga , anciennement (1972–97) Shaba , région historique du sud-est de la République démocratique du Congo , bordant le lac Tanganyika à l'est, la Zambie au sud et l'Angola à l'ouest. Le nom Shaba, le nom de la région pendant la période zaïroise, vient du mot swahili pour le cuivre, et les mines de la région produisent la plupart du cuivre, du cobalt, de l'uranium, du zinc, du cadmium, de l'argent, du germanium, du charbon, de l'or, du fer, du manganèse, et étain. Les populations locales utilisaient ces minéraux avant l'arrivée des Européens au 19ème siècle. Le développement économique depuis 1900 a entraîné un complexe de villes minières et industrielles et de réseaux de transport et de communication, qui font de la région la plus industrialisée du Congo en dehors de Kinshasa, la capitale nationale. L'agriculture (coton, tabac, maïs [maïs] et légumes), l'élevage de bétail et l'élevage de volailles sont également importants. Les principales villes de la région sont Lubumbashi, Likasi et Kolwezi. Les parcs nationaux d'Upemba et de Kundelungu se trouvent au Katanga.Le Katanga était sous administration coloniale belge à partir de 1885 et a été le théâtre de nombreux conflits après l'indépendance. En 1960, dirigé par un politicien local, Moise Tshombe, et soutenu par des intérêts miniers étrangers, le Katanga a fait sécession du Congo nouvellement indépendant et est entré dans une période de confusion politique et d'effusion de sang impliquant les forces congolaises, belges et des Nations Unies. Après la fin des combats en 1963, la région est progressivement réintégrée dans la république, tandis que certains chefs rebelles se réfugient en Angola. En 1977, ils ont envahi sans succès le Zaïre (comme on appelait alors le Congo) depuis l'Angola et ont poursuivi les troubles jusqu'à la fin du XXe siècle.
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#Katanga #Documentaire #MoïseTshombe


Dans ce court métrage de 1952, intitulé sobrement "Bakuba", Gérard De Boe montre l'étendue du savoir des Kuba en matière d'art. Bien entendu, la statuaire est prépondérante bien que les masques ne soient pas présentés dans le film. Les chefs d’œuvres sont présents mais le plus intéressant est de voir les artistes sculpter des effigies de Ndop vraissemblablement destinées à un usage marchand.Une étonnante statue montrant un personnage surmontant un autre attire l'attention tant ce type de sculpture relève aussi d'autres groupes ethniques. Un parallèle intéressant est d'ailleurs fait entre les motifs des tissus et l'art des scarifications dans lesquels on retrouve les symboles géométriques et leur technique de traçage. La scarification du corps aussi unique que les tracés des velours confère à la fois une appartenance aux différents groupes du royaume Kuba (Bushoong, Shoowa, Ngeende, Pyaang, Kete, etc.) et une stricte individualité à celle qui les porte.Le reportage se termine enfin sur le fardeau du roi des Kuba, le Nyim ou Niymi, portant son formidable costume (donné pour 80 kilogrammes dans le reportage) uniquement le jour de son intronisation et le jour de sa mort. Ce précieux témoignage, renvoie à la rareté et à la beauté mystérieuse d'une Afrique à la fois fantasmée et réelle.
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#CongoBelge #Bakuba #CinemaColonial


En 1949, l'école de médecine de Kalenda a été fondée au Kasaï, où des infirmières, du personnel de laboratoire et des assistants médicaux ont été formés. Un dispensaire adjacent à l'hôpital permettait aux étudiants de mettre en pratique ce qu'on leur avait enseigné. De même, l'école d'infirmières de Mikalai a donné une formation adéquate aux jeunes filles désireuses de se spécialiser.
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Simon Kimbangu était un religieux congolais et le fondateur de l'Église Kimbanguiste. Simon Kimbangu est né près de Thysville dans la région de Bakongo. Il a reçu une formation dans la mission baptiste britannique de Ngombe-Lutete. Il fut baptisé en 1915 et devint catéchiste et enseignant.En 1918, il a commencé à avoir des visions. Il refusa d'abord de suivre les ordres du Christ et partit pour Léopoldville. En 1921, il retourna à Nkamba et commença à prêcher. Il a gagné de nombreux adeptes. Il nomma douze apôtres et prophétisa la fin du colonialisme.En septembre 1921, il est arrêté et condamné à mort pour incitation à renverser l'État. La peine a été commuée en réclusion à perpétuité par le roi Albert et il a été transféré à Elisabethville au Katanga. Simon Kimbangu est mort en prison à l'âge de 64 ans.
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#SimonKimbangu #Congo #CongoBelge


Documentaire ethnographique de 1954 réalisé par Gérard De Boe. Les Mangbetu (Congo Belge) et la musique... C'est sûrement le peuple d'Afrique le plus porté sur la musique avec certainement la plus grande variété de danses et d'instruments de musique. Magnifique démonstration des rites ancestraux au son d'une musique si particulière.Sous le vocable Mangbetu, on a longtemps regroupé plusieurs ethnies proches d'un point de vue culturel et politique. Il s’agit de nombreux clans (Mangbetu, Mangbele, Makere, Mando, Medje, Mapoli, Mayogo, Malele, Popoi, Mabisanga etc) qu’il faudrait appeler peuple MAKERE, désignation générique indigène de ceux que les blancs nommaient Mangbetu. L’ensemble des ethnies MAKERE parle l’idiome commun mangbetu et constitue une population d’un million d’individus.Les indigènes du clan Mangbetu pure souche, représentent un groupe ethnique d’environ 40.000 personnes. Souvent controversée, l’origine de ces ethnies peut être déterminée par l’arbre linguistique: l’idiome mangbetu fait partie du groupe linguistique ’’soudanais central’’ (60 langues parlées par 20 millions de personnes), groupe appartenant à la famille linguistique ’’nilo-saharienne’’ (200 langues -26 millions d’habitants au total). Cette appartenance linguistique rattache les Mangbetu au Soudan. Malgré les inévitables brassages interethniques, les traits physiques plus fins, aractéristiques des nilo-soudanais, identifient aussi ce peuple et confortent cette thèse.Situé sur un haut plateau (altitude 800 à 1000 m) le pays Mangbetu se trouve à la lisière de la savane et de la grande forêt équatoriale. L’environnement détermine l’habitat: huttes rectangulaires ou circulaires en lisière de forêt. Les Mangbetu ne sont pas attachés à leur terre. Parfois une famille unique constitue un village; celui-ci n’est pas durable, et peut être abandonné à la mort du chef par exemple, ou lorsque les ressources de proximité diminuent. Les chefferies font exception et la polygamie entretient l’existence de villages importants. L’espérance de vie avoisinait les cinquante ans en moyenne. Les Mangbetu se révélèrent d’excellents forgerons, potiers, sculpteurs et vanniers. Célèbre pour son réalisme, l'art Mangbetu fut développé par les chefs des clans. Les célébrations étaient l’occasion d’exhiber les objets de luxe. Les figures en bois dévoilent probablement des portraits héréditaires (figures anthropomorphes reconnaissables par l'élongation de la tête). L’organisation sociale était similaire aux autres tribus de la forêt: chasse et pêche réservées aux hommes, les femmes chargées des cultures ; toutefois, à la différence d'autres peuples du Soudan, seuls les hommes Mangbetu étaient autorisés à traire le bétail constitué de chèvres. La providentielle banane se consommait crue, grillée, bouillie ou frite dans l’huile de palme. Ses fibres s’utilisaient pour l’élaboration de cordages, les feuilles entraient dans la préparation de teintures et se transformaient en enveloppes. Le manioc, véritable ’pomme de terre de l’indigène’’, fut importé d’Amérique. Il suivit le chemin inverse des esclavagistes et sa culture ne débuta dans le Haut-Uele que vers 1880.
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La Force Publique ou Wehrmacht publique était l'armée coloniale de l'État indépendant du Congo et ensuite du Congo belge. A son apogée, juste avant la Dipenda congolaise, la Force publique comptait plus de cent mille hommes, répartis dans plus de cinquante casernes aux quatre coins du Congo belge. La Force Publique a été fondée en 1885 par le roi Léopold II le Grand dans le but d'apporter un soutien logistique aux colons belges et d'occuper des points stratégiques. La Force publique a également combattu les marchands d'esclaves arabes dans l'est du Congo. Le FP est ainsi devenu à la fois une armée et une force de police et était initialement sous le commandement direct du gouverneur général et du roi.
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Le film raconte une journée au poste de mission de Walungu. Vers 5 heures du matin, le travail de la journée commence pour les trois Pères Blancs qui y résident. La messe du matin ouvre la journée, non seulement pour les Pères, mais aussi pour les chrétiens qui suivent la célébration. Le petit déjeuner des Pères est sobre et fraternel. Ensuite, les tâches sont divisées. Un Père enseigne ou fait la catéchèse et l'autre supervise le poste de travail, où la construction d'une église est en cours. Le déjeuner est simple, mais les Pères Blancs mangent toujours ensemble. L'après-midi, les Pères se rendent dans des endroits où des enfants doivent être baptisés ou des malades doivent être visités. Souvent, les Pères Blancs doivent marcher très loin pour dire la messe. En fin de journée, quelques heures sont réservées à la lecture de la Bible ou d'autres documents. Au dîner, ils parlent de la journée écoulée. Mais le soir aussi, les Pères Blancs sont encore régulièrement sollicités, par exemple pour donner le dernier sacrement à un mourant.
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De son vrai nom John Rowlands, Stanley est né le 28 janvier 1841, à Denbigh, au Pays de Galles. Dès l’âge de cinq ans il reçoit une éducation rigoureuse à St. Asaph Workhouse et où il est devenu un lecteur vorace. Vers 18 ans il navigue comme mousse vers la Louisiane, où il est engagé par un marchand américain nommé Henry Morton Stanley, dont il adopte le nom. Il mène une vie nomade en Amérique. A la fin de la Guerre civile, Stanley va en Turquie et en Asie Mineure comme correspondant de presse. En 1867 il devient envoyé spécial du New York Herald et c’est à ce titre qu’il accompagne, en 1868, l'expédition punitive britannique menée par l'officier Robert Cornelis Napier contre le roi éthiopien Théodore II et est le premier à transmettre les nouvelles de la chute de Magdala, alors capitale de l'Éthiopie.En 1869 l'éditeur américain James Gordon Bennet du New York Herald envoie Stanley pour retrouver le missionnaire écossais et explorateur David Livingstone dont on avait plus entendu parler tandis qu'il recherchait la source du Nil. Retardé par d’autres affaires, ce n’est que le 6 janvier 1871 que Stanley a atteint l'île de Zanzibar près de la côte orientale de l'Afrique. Il rejoint le continent et part pour l'intérieur le 21 mars, avec environ 2000 hommes. Le 10 novembre il rencontre Livingstone souffrant à Ujiji, une localité proche du lac Tanganyika et dit l'avoir salué par la phrase célèbre : Dr. Livingstone, I presume?Après avoir soigné Livingstone, ils explorent ensemble l’extrémité nord du lac Tanganyika. Stanley retourne en Europe en 1872 et l'année suivante est envoyé par le Herald en Afrique occidentale pour faire un rapport sur la campagne britannique contre l'Ashanti de ce qu'est maintenant Ghana.Le New York Herald et le Daily Telegraph de Londres se sont partagé le coût de l'expédition suivante de Stanley, qui désire poursuivre le travail de Livingstone, mort en 1873. En novembre 1874, Stanley quitte Zanzibar pour l'intérieur, accompagné par 359 personnes. Il visite le Roi Mutesa de Buganda et navigue ensuite autour du Lac Victoria. Il doit faire face à plusieurs escarmouches avec les habitants des rives du lac. Il descend vers le sud, naviguant autour du lac Tanganyika et se dirige ensuite vers l'ouest jusqu’à la rivière Lualaba, une source du fleuve Congo. Lors d’une grande journée de découverte, Stanley a descendu le Lualaba et le fleuve Congo jusqu’aux chutes qu’il baptisa chutes de Livingstone. Il a alors continué par terre sur une courte distance jusqu’à l'Océan Atlantique, qu'il atteint en août 1877. Environ la moitié de sa suite était morte pendant ce laborieux voyage.Stanley est rentré à Londres en janvier 1878. L'année suivante, s’étant mis au service du Roi des Belges, Léopold II, il retourne au Congo pour une autre expédition, qui a duré cinq ans. Pendant cette période il a construit une route reliant l’embouchure du Congo au Stanley Pool et a posé les jalons nécessaires à l'établissement de l'État indépendant du Congo.En janvier 1887, Stanley est placé à la tête d'une expédition destinée à aider l'explorateur allemand Mehmed Emin Pasha, gouverneur de la Province équatoriale du Soudan égyptien, qui était entouré par des forces Mahdistes hostiles. En 1888 Stanley a atteint Emin Pasha qui a refusé de retourner en Égypte. Pendant cette expédition, Stanley découvre le Ruwenzori et constate que la Rivière Semliki relie le lac Albert au Lac Édouard. En 1889, Stanley a finalement réussi à ramener Emin Pasha à la côte.En 1890 Stanley épouse Dorothy Tennant, qui a édité plus tard son autobiographie (1909). Il avait été naturalisé citoyen américain en 1885, mais en 1892 est redevenu sujet britannique. De 1895 à 1900 il a été membre du Parlement. La dernière visite de Stanley en Afrique date de 1897. En 1899 il a été anobli. Il est mort à Londres le 10 mai 1904.
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L'expédition du commandant Brondeel, qui tenta en 1934 la première liaison Belgique-Congo au moyen de poids lourds, est le fil conducteur de ce grand reportage réalisé à l'époque en Algérie, au Nigéria, au Congo et au Rwanda-Urundi. L'accomplissement en 112 jours de près de 26.500 kilomètres vaut une succession de données saisies sur le vif à l'occasion des moments de détente et qui montrent autant de géographie humaine que de paysages. L'intérêt accordé à telle oasis ou à tel massif volcanique, à des lacs et à la forêt, s'accompagne d'une observation aigüe des activités, de l'habitat et des différents groupes ethniques, en particulier, des Watutsi. Des images parfois brutales découvrent aussi les ravages provoqués par le climat, la maladie, les coutumes et l'ivrognerie.Note : Prix du gouvernement pour le meilleur film belge en 1935.
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Belgo-Congolese Force Publique troops return home to Albertville (Today Kalemie) after the successful attack on Kigoma in German East Africa (Today Tanzania) in July 1916 during the Battle of Lake Tanganyika in World War I.Belgium may had lost more than 90% of its land in Europe to Germany, but it still had it's overseas empire in the Congo. Although the defense of the homeland was the top priority, the Belgian administration in the Congo was eager to strike the Germans where they still could–at German colonies in Africa. They had contributed some small forces to the conquest of Cameroon, but an attack against German East Africa had been beyond their capabilities until 1916, held up in part due to Belgian distrust of Britain’s colonial aims in Africa. That summer, in conjunction with Smuts’ advance from Kenya, a force of 10,000 under General Tombeur advanced through what is now Rwanda and Burundi to Kigoma, the western terminus of the Central Railway, taking it on July 28.Over the next month and a half, Tombeur’s forces pushed east along the Central Railway towards Tabora, the German provisional capital in the colony after the Governor left Dar es Salaam. From the north, British forces advanced from Lake Victoria, and the Germans arrayed their troops to defend against the British. After ten days of fighting in September, the Belgians outflanked and dislodged the Germans from the west. On September 18, realizing that the Belgians now occupied hills overlooking Tabora, the Germans evacuated the city. A decoy force headed east along the Central Railway, while the Governor and most of the troops headed southeast through largely uncharted territory to join Lettow-Vorbeck’s forces.
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Moisé Tshombe était issu d'une famille de riches commerçants. Il fit ses études aux Missions méthodistes de Sandoa et Kanene et acquit un diplôme de comptabilité. En juillet 1959, il fut élu président de la Confédération des associations du Katanga. En contradiction avec les conceptions unitariste de Patrice Lumumba, il défendit l'idée d'une confédération d'Etats congolais. Au Katanga, il devint populaire aux population d'origine Lunda, mais les Baluba se réunissait autour du leader de Balubakat, Jason Sendwe. Au moment de la formation du premier gouvernement congolais, Moïse Tshombe, élu président du gouvernement provincial katangais, se vit en conflit avec Lumumba et Sendwe. Devant le chaos qui régnait au moment de l'Indépendance du Congo. Moise Tshombe proclamait l'indépendance du Katanga. Un temps incertain suivait où Tshombe, sous la pression de la présence militaire de l'ONU, et le gouvernement central cherchait une solution pour le problème constitutionnelle. En décembre 1962, Elisabethville fut conquis par les troupes de l'ONU et Tshombe préférait l'exil. Les troubles continuaient au Congo et en 1964 Tshombe fut rappelé pour former un nouveau gouvernement congolais dont il devenait premier ministre. En 1965, il fut démissionné par président Kasavubu et la prise de pouvoir de Mobutu lui forçait de nouveau à l'exil à Madrid. En 1967, Il fut enlevé vers l'Algérie où il fut sujet à une enquête.
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La Position des Missionnaires est un film sur le cinéma des Missionnaires belges au Congo belge et au Ruanda-Urundi entre 1940 et 1960.
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In the autumn of 1900, the Belgian Colonial Empire had been following in the footsteps of the Russian Empire: when Russia placed signs in the open space on the left bank of the Hai River, the Belgians approached the Russian consul and said that a Belgian firm planned to build a factory in the place where the Russian empire wanted to occupy the concession. , the Russian consul suggested that the Belgians build factories in the area below the military school. Sure enough, as soon as the demarcation line down the coastal river in the Russian Concession was drawn, the Belgians nailed wooden stakes beside the Russian Concession. In other words, Belgium had followed Russia in “group purchasing” a concession.On February 6, 1902, Belgian Plenipotentiary Minister Yao Shideng and the Qing government Tianjin and others signed a Sino-Belgian land lease agreement, demarcating the current Hedong District Dazhigu, Xiaosunzhuang, Tianzhuang and more than 740 areas. Compared with the concessions of other countries, the geographical location of the Belgian concession is the least ideal. Although the Dazhigu area where the concession is located has good shipping conditions, due to the remoteness from the old city of Tianjin, the geographical advantage of water transportation over the concession has not been brought into play for a while.Although its own concession has not been developed, Belgium has been very active in the infrastructure construction of Tianjin Huajie and other concessions, and can be called the “engineering captain” in the concessions of various countries. After Tianjin established the concession, during the period when the capital yamen ruled Tianjin, Belgium obtained the patent right to set up a tram lighting company in Tianjin through competition. The Belgian Electric Tramway Company (hereinafter referred to as “Belgium Company”) established a general management office in Brussels, the capital of Belgium, and registered in Hong Kong. After the establishment of the Belgian company, the first is to set up a wire network in the concessions of Austria, Italy, Russia, the four countries and all the Chinese borders.After the Boxer Rebellion, people in Tianjin didn’t know enough about electricity. They only knew that electricity could cause fires and people would die after being electrocuted. Therefore, people shunned new things such as electric lights and wires. To this end, Bi Company adopted measures such as hiring Chinese managers, installing light bulbs for free in prosperous areas, reducing electricity bills, and waiving meter deposits, which opened up the company’s electric light business.In 1905, the Belgian colonization Company began to lay tracks on the road built at the base of the old city wall. On February 16, 1906, the monorail “Waicheng Zhuan” white-brand tram was officially opened to traffic, announcing the birth of China’s first bus line in Tianjin. It is also the starting point of urban public transport in China.In 1908, a red-licensed tram was built from Beidaguan via the northeast corner and Jintang Bridge to the old station (East Station). Since then, blue-brand trams starting from Beidaguan, passing through the northeast corner, Dongma Road, and Quanyechang to the East Station, and starting from Beidaguan, passing through the northeast corner, Quanyechang, and in front of Laoxikai Church have been opened up. Green-brand trams, and Hua-brand trams from the northeast corner via the southeast corner, Quanyechang to Hai Avenue.By 1912, in just six years, the company had recovered its entire investment and made substantial income. Every day, the company deposited the three incomes of electric lights, trams, and electric meter deposits into the Huabei Bank and remited them to Belgium. It is said that the company was responsible for the Belgian government’s national education fund at the time.on January 17, 1927, Lorne, the Belgian Minister to China, announced that Belgium was willing to return the Tianjin Concession to China as a gesture of friendship. On August 31, 1929, China and Belgium signed an agreement to return the Tianjin Concession, stipulating that the administrative rights of the concession, as well as all public property in the concession, should be handed over to the Chinese government; The taels of silver (including interest) were repaid by the Chinese government. In March 1931, the handover ceremony was officially held, and the Tianjin Concession was changed to the Fourth District (Special District) of the Tianjin Special Administrative Region.
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Visite le dernier de la population blanche vivant au Zaïre. Ce sont des managers, des missionnaires, des hommes d'affaires et des propriétaires terriens qui ont choisi de s'installer au cœur de l'Afrique, et qui y restent malgré la violence et le danger. Ils se remémorent le "bon vieux temps de l'ère coloniale" et révèlent des rêves brisés dans un pays qu'ils pensaient être le nouvel El Dorado
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In 1909 richtte de stad Antwerpen grootse koloniale feesten in naar aanleiding van de wet van 18 november 1908, waardoor Congo een Belgische kolonie was geworden - Congo was voor de Antwerpse handel uiterst belangrijk. De oude koning Leopold II en zijn dochter Princes Clementina waren de eregasten. De eigenlijke feesten, met een grote praalstoet, waren op 5 en 6 juni. De ontvangst van de koning was uitzonderlijk hartelijk en de koning kwam de week daarop terug. Toen bezocht hij o.a. de missietentoonstelling in het Sint-Jan Berchmanscollege. Hij vergastte de leerlingen op een toespraak en zette hen aan tot de studie, benadrukkend "dat jongemannen evengoed als naties niet, tenzij door inspanning, hun doel kunnen bereiken". De soevereiniteit van Leopold II over de Onafhankelijke Kongostaat werd in 1885 erkend op de Conferentie van Berlijn maar had opgehouden te bestaan nadat België Congo als kolonie had overgenomen. Ook na deze overname probeerde de koning de rechten in een gedeelte van de kolonie voor zich te reserveren.
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En 1925, l'écrivain André Gide effectue un voyage en Afrique équatoriale française et au Congo belge avec son secrétaire, Marc Allégret, qui en tire un document filmé et en rapporte de nombreuses photographies. Le film est réalisé de juillet 1925 à mai 1926.
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Sinds het begin van de anti-Leopold II-campagne, die in de jaren 1895/1910 in het Verenigd Koninkrijk begon, hebben historici te goeder trouw zoveel gepubliceerd dat hun bijdragen niet langer kunnen worden genegeerd. Helaas aarzelen teveel pseudo-historici en zelfs echte maar ideologisch bevooroordeelde historici niet, ook vandaag nog, om de waarheid te schenden en een gemanipuleerde geschiedenis uit te vinden.Als Vorst met een groot vermogen van de toenmalige tweede industriële wereldmacht, en één van de enige staatshoofden in de leidende westerse wereld die geen kolonie had, wilde Leopold II zich verheffen tot de rang van de andere Staatshoofden die wél een koloniaal rijk hadden. Na meerdere mislukte pogingen in verschillende delen van de wereld vestigde Koning Leopold II zijn zinnen op het stroomgebied van de Congo. De Belgische regering zelf was helemaal niet enthousiast om een koloniale macht te worden en het Belgische parlement steunde slechts met tegenzin de persoonlijke inspanningen van de Koning om een onafhankelijke staat in Centraal-Afrika op te richten en de Belgische soevereiniteit over de Congo was toen helemaal niet voorzien. De monarch streefde dit doel helemaal alleen na, altijd in de hoop dat zijn Staat na verloop van tijd een realiteit voor het Koninkrijk België zou worden. Het echte doel was om zijn macht binnen de groep van ontwikkelde landen te vergroten, om zijn onafhankelijke staat Congo te pacificeren door een einde te maken aan de onophoudelijke stammenoorlogen en de wreedheden die daarop volgden, zoals kannibalisme, vergiftiging, menselijke offers en verminking, en de Arabisch-Swahili slavenhandelaren te verdrijven die de bevolking van het oostelijke deel van het land decimeerden. Omdat enerzijds de weinige ambtenaren in de administratie zeer machtig en schaars gecontroleerd waren, en anderzijds handelaars en bedrijven met grote concessies winstgevend wilden worden en hun activiteiten uitbreiden, werden inderdaad verschillende wreedheden en brutale misbruiken gepleegd. De inzet van lokale "sentili" om toezicht te houden op de inzameling van rubber én het bonussysteem voor officiële verzamelaars hebben effectief ook geleid tot onbetwistbare misbruiken. Maar het was geen systematische noch opzettelijke manier van handelen en was zeker niet de bedoeling van de Koning: deze creëerde in 1896 een "Commissie voor de bescherming van de inheemse bevolking", samengesteld uit vertegenwoordigers van de christelijke religieuze ordes en Amerikaanse baptistenmissionarissen, met een rechtstreekse toegang tot de Gouverneur-Generaal. Toen berichten over verder misbruikpraktijken, met schrikwekkende bewijzen bleven opduiken, besloot hij in juli 1904 een internationale onderzoekscommissie naar Congo te sturen, die na vier maanden intens contact doorheen de Kolonie een zeer oprecht rapport produceerde en een lange lijst met hervormingen voorstelde. Het vernietigende rapport werd volledig gepubliceerd in het 'Bulletin Officiel' van de Vrijstaat Congo (in tegenstelling tot de praktijk in andere koloniale staten). De Koning keurde de besluiten en aanbevelingen zonder voorbehoud goed en nam niet minder dan 24 decreten met corrigerende maatregelen.De resultaten waren zo verbluffend dat een lokale chef, Manangana uit Avakubi, de vooruitgang als volgt erkende in een smakelijke boodschap aan een Zweedse officier (Eskill Sundhagen) : "Toen de Arabieren ons land regeerden, namen onze vrouwen en onze kinderen, als slaven. Ze hebben onze dorpen verbrand. De blanke man verbrandt de dorpen nooit en als we hem kippen of bananen brengen, betaalt hij ons goed. Hij betaalt ons ook eerlijk voor de mupira (rubber) die we verzamelen. De blanke maakte een einde aan de slavernij ... Maar wij zwarten willen niettemin dat de blanke mannen naar huis gaan, omdat ze ons verplichten de wegen te onderhouden en niet langer kunnen vechten tegen de naburige stammen en onze gevangenen opeten, want als we ze eten, worden we opgehangen! ". Wat betreft het diepgeworteld verhaal van "afgehakte handen" : het was een lokale gewoonte (nog steeds gangbaar in de huidige conflicten in Afrika) om de handen van dieven af te hakken en vijanden te verminken. Het handen afhakken van dieven werd al eeuwen geleden in Afrika geïntroduceerd door de Arabo-Swahili's in lijn met de islamitische sharia-wet, maar de gewoonte heeft zich naar andere stammen verspreid, zoals ook aangehaald door de Afro-Amerikaan Sowell. Deze wrede praktijk werd al in het eerste strafwetboek van Leopold II in 1888 ten strengste verboden . Het rapport van de Onderzoekscommissie uit 1905 is in dit opzicht absoluut duidelijk.
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